7 bonnes raisons de consulter une nutrithérapeute

18 Août - 2025

Pourquoi consulter une nutrithérapeute ?

Notre alimentation influence bien plus que notre silhouette : elle agit directement sur notre énergie, notre humeur, notre immunité, notre digestion… Pourtant, face à la multitude d’informations (parfois contradictoires), il est facile de se sentir perdu(e). C’est là qu’intervient la nutrithérapie.

Qu’est-ce qu’une nutrithérapeute ?

Une nutrithérapeute est une professionnelle formée à l’utilisation des aliments et des micronutriments (vitamines, minéraux, probiotiques…) comme leviers pour améliorer la santé. Elle ne remplace pas un médecin, mais accompagne de façon complémentaire, avec une approche personnalisée, respectueuse du corps et des émotions.

7 bonnes raisons de consulter une nutrithérapeute

1. Perdre du poids durablement, sans frustration

Fini les régimes yo-yo et les restrictions ! L’objectif est de retrouver un équilibre alimentaire qui respecte votre corps et votre rythme, sans privation.

2. Améliorer sa digestion

Ballonnements, reflux, transit perturbé… La nutrithérapie peut aider à rééquilibrer votre microbiote intestinal et apaiser les inconforts digestifs.

3. Gérer le stress, l’anxiété ou la fatigue chronique

Certains nutriments ont un impact direct sur le système nerveux et la production d’hormones. Une alimentation adaptée peut améliorer votre énergie, votre sommeil et votre humeur.

4. Mieux vivre avec certaines pathologies

Comme le diabète, les troubles hormonaux, l’hypertension, les douleurs inflammatoires… L’alimentation devient alors un soutien précieux, au quotidien.

5. Accompagner un changement de vie

Grossesse, ménopause, reprise du sport, arrêt du tabac… Chaque étape de vie mérite un accompagnement adapté à vos nouveaux besoins.

6. Reprendre le contrôle de son alimentation

Fringales, compulsions, alimentation émotionnelle… Grâce à un accompagnement comportemental, vous apprenez à écouter vos sensations et à manger en pleine conscience.

7. Être accompagné(e) avec bienveillance

En tant que nutrithérapeute, je vous propose un suivi sans jugement, dans l’écoute et l’adaptation à vos besoins. Vous avancez à votre rythme, sans pression.

En résumé

Consulter une nutrithérapeute, c’est reprendre votre santé en main, en douceur, en conscience et avec des outils concrets.
C’est aussi l’occasion de mieux vous connaître, de retrouver du plaisir à manger et de poser les bases d’un mieux-être durable.

La réponse est oui. Et elle commence… dans l’intestin. Plus précisément dans les cellules L de notre intestin grêle, qui produisent naturellement une hormone appelée GLP-1. Cette petite merveille biochimique agit comme un chef d’orchestre : elle ralentit la vidange de l’estomac, stimule l’insuline, calme le glucagon, et surtout… elle envoie un message très clair à notre cerveau : « Tu peux t’arrêter de manger, tu as eu ce qu’il te faut.” C’est ce signal de satiété, cette lumière verte intérieure, que les agonistes du GLP-1 comme Ozempic reproduisent de façon prolongée.

Mais il existe des molécules naturelles qui peuvent stimuler notre propre GLP-1 sans l’injecter artificiellement. Deux d’entre elles ressortent très nettement dans les études récentes : la berbérine et l’allulose.

La berbérine est un extrait de plante qu’on trouve dans l’épine-vinette (Berberis vulgaris) ou le Phellodendron amurense. Son effet est double : elle régule la glycémie (comme la metformine, mais sans prescription), et elle stimule les cellules de l’intestin à produire du GLP-1. Dans une étude de référence publiée en 2010, des chercheurs ont montré qu’elle améliore la tolérance au glucose et booste la satiété. Pas de fringale, pas de pic de sucre, pas de crash après le repas.

Et puis il y a l’allulose. C’est un sucre rare, cousin du fructose (sans en avoir les inconvénients pour le foie), mais qui a un pouvoir magique : il a le goût du sucre… sans en avoir les effets. Il ne fait pas grimper la glycémie, il n’active pas l’insuline, mais il déclenche une montée de GLP-1, comme s’il envoyait un petit message au cerveau : « On a mangé quelque chose au goût sucré, tout va bien, tu peux te détendre.” Dans une étude japonaise, 5 grammes d’allulose ont suffi pour tripler les taux de GLP-1 chez des volontaires sains. Sans calories, sans bouleversement hormonal, juste un petit boost de satiété naturelle.

Alors bien sûr, ni la berbérine ni l’allulose ne vous feront perdre 15 kilos en 6 mois. Ce n’est pas une baguette magique. Mais c’est une approche douce, métabolique, intelligente. Une façon d’accompagner le corps plutôt que de le forcer. Une stratégie qui respecte le plaisir de manger, la diversité des aliments, et l’écoute du corps.

C’est ça, l’effet Ozempic Light. Ce n’est pas une injection. Ce n’est pas une punition. C’est une conversation entre votre intestin et votre cerveau, relancée par des outils simples, naturels, soutenus par la science. C’est ce que les chercheurs appellent de plus en plus : la “rééducation hormonale” — plutôt que la substitution chimique.

Et dans un monde où le poids, les émotions et l’alimentation sont si étroitement liés, avoir une alternative douce mais efficace, c’est peut-être le vrai changement révolutionnaire.

Alors, au lieu de vous jeter sur le dernier traitement miracle, commencez par soutenir votre propre intelligence hormonale. Testez la berbérine. Explorez l’allulose. Et observez comment votre relation à la nourriture se transforme… sans violence, sans renoncement, juste avec un peu de science et beaucoup de bienveillance.

source: la nutrition.fr